Bergeronnette des ruisseaux (Motacilla cinerea)
Quel est le deuxième nom de la bergeronnette ?
- A. Hochequeue, car elle se déplace en bougeant sa queue de haut en bas
- B. Petite Bergère, car elle apprécie particulièrement la compagnie du bétail
- C. Longuequeue, car sa queue est aussi longue que le reste de son corps
(photo prise au Parc Méliès)
Réponse A : Si vous avez déjà observé la bergeronnette des ruisseaux ou bien sa cousine la bergeronnette grise, vous avez sans doute remarqué qu'elle agitait sans cesse sa longue queue de haut en bas. C'est ce qui lui a valu le nom de Hoche queue. Très dépendante de l'eau, la bergeronnette des ruisseaux est présente à Orly en bord de Seine ainsi qu'au Parc Méliès.
Fauvette à tête noire (Sylvia atricapilla)
Pourquoi ai-je la tête marron ?
- A. Car toutes les fauvettes à tête noire ont en réalité la tête marron
- B. Car je suis une femelle
- C. Car je ne suis pas en plumage nuptial
(photo prise sur les bords de Seine)
Réponse B : Contrairement au mâle, la femelle de la Fauvette à tête noire a la tête marron. Le reste de son plumage de couleur fauve (ocre orangé) lui a valu son nom de Fauvette. En France, La Fauvette à tête noire peut être migratrice ou sédentaire. Elle apprécie les milieux ouverts avec des buissons et des arbustes. C'est pourquoi elle peut être observée en bord de Seine, au Parc Méliès, au Parc des Saules et dans les friches urbaines.
Gallinule poule d'eau (Gallinula chloropus)
Combien de couvées un couple de poules d'eau peut-il avoir chaque année ?
- A. Une seule
- B. Deux, si la première a été décimée
- C. Jusqu'à quatre
(photo prise au Parc Méliès)
Réponse C : Une fois formé, un couple de poules d'eau reste fidèle jusqu'à la mort. Il peut avoir chaque année jusqu'à quatre couvées, les plus grands oisillons aidant ensuite leurs parents à élever les plus petits. La poule d'eau apprécie les plans d'eau calmes avec une végétation dense. Il n’est pas rare de la voir se nourrir sur les pelouses à proximité de l’eau. A Orly, on la rencontre en Bords de Seine et au Parc Méliès.
Grive musicienne (Turdus philomelos)
Quel outils la Grive musicienne utilise-t-elle pour manger les escargots ?
- A. Elle utilise une petite branche pointue pour aller chercher l'escargot dans sa coquille
- B. Elle utilise une pierre pour casser la coquille de l'escargot
- C. Elle se sert de son bec pour percer la coquille de l'escargot
(photo prise au Parc Méliès)
Réponse B : La Grive musicienne fait la même taille qu'un Merle noir mais se distingue par son plumage beige tacheté sur le ventre. De nature très craintive, elle est difficilement observable, bien qu'il ne soit pas rare d'entendre son joli chant entre janvier et juillet. C'est une espèce omnivore avec un faible pour les escargots dont elle casse la coquille en les tapant contre une pierre. A Orly, elle est présente au Parc Méliès et au Parc des Saules.
Pic épeiche (Dendrocopos major)
Que sont les "forges" du pic épeiche ?
- A. Ce sont les cavités qu'il creuse dans les troncs d'arbres
- B. Ce sont les vieux arbres sur lesquels il tambourine
- C. Ce sont des crevasses du bois qu'il utilise pour coincer les fruits à coque
(photo prise au Parc Georges Méliès)
Réponse C : Le pic épeiche possède un régime alimentaire très varié. Il se nourrit aussi bien d'insectes, qu'il déniche en creusant le bois, que de noix en tout genre. Pour pouvoir casser ces noix avec son bec puissant, il les coince dans les crevasses du bois, qu'on appelle "forges". Très commun, même en milieu urbain, le pic épeiche est présent au Parc Georges Méliès, au Parc des Saules, au Parc Jean Mermoz et sur les bords de Seine.
Pour vous récompenser de votre participation au quiz, un souvenir de l’exposition vous attend à la Maison des projets et du développement durable (à venir récupérer du mardi au vendredi entre 14h30 et 17h30).