Bois des Roses

Réponse B : L'accenteur mouchet se nourrit essentiellement d'insectes et de vers qu'il trouve en fouillant l'humus. C'est pourquoi on l'observe souvent sautillant sur le sol, à l'abri des buissons.  Son nid aussi n'est jamais loin du sol mais toujours bien camouflé dans les broussailles. D’un naturel très discret, l'Accenteur mouchet se perche cependant au sommet d’un arbre lorsqu’il chante. A Orly, il est présent dans tous les espaces verts où l’on trouve des buissons denses.

Réponse C : Ce petit passereau de la famille des fauvettes est plus facile à entendre qu'à voir. En effet, il passe le plus clair de son temps dans les taillis à la recherche d’insectes. Cependant, il se montre volontiers pour chanter au sommet d'un buisson. Il vit dans des milieux transitoires, comme les friches reconquises par la végétation. À Orly, on peut l'observer au Trou d'Enfer.

Réponse B : Le merle est un oiseau commun aussi bien en milieu urbain que rural.  Il n'est pas rare d'entendre son joli chant ou de l'apercevoir sautillant dans l'herbe. Le mâle est noir avec un bec jaune vif tandis que la femelle est brune avec un bec terne. Certains individus peuvent cependant présenter des anomalies pigmentaires. Les merles leuciques sont ainsi partiellement blancs tandis que les merles albinos sont entièrement blancs et ont les yeux rouges.

Réponse A : La mésange à longue queue porte bien son nom puisqu'elle mesure environ 14 cm dont 9 cm pour la queue. Assez commune dans les espaces verts d'Orly, elle constitue souvent des groupes de plusieurs dizaines d'individus. Contrairement aux autres espèces de mésange qui sont cavernicoles, la mésange à longue queue est arboricole, c'est-à-dire qu'elle ne construit pas son nid dans une cavité mais dans un arbre.

Réponse A : Le rougequeue noir vit en milieu rupestre, qu'il soit naturel ou artificiel. Les parois rocheuses lui fournissent un abri pour son nid ainsi qu'un terrain de chasse. En ville, on peut le voir perché bien en évidence sur un muret, un buisson ou les branches basses d'un arbre d'où il surveille le sol à la recherche de petits insectes. Lorsque la végétation est plus dense, le rougequeue noir laisse la place à son cousin, le rougequeue à front blanc.